Les Magnetic Fields seront de retour le 15 janvier prochain avec Distorsion, le huitième album de leur discographie et le deuxième pour Nonesuch Records après I sorti en 2004.
Son leader Stephin Merritt, l’homme au béret et au ukulélé, n’est pourtant pas resté inactif depuis 4 ans puisqu’il a trouvé le temps de fonder un nouveau projet parallèle, The Gothic Archies (en plus de The 6ths et de Future Bible Heroes) et de sortir Showtunes, une compilation de musiques écrites pour un opéra.
Une tournée américaine devrait également suivre la sortie de ce nouvel album.
Après la noisy pop avec le bien-nommé mais souvent mal-aimé Distortion (lire notre chronique), c’est à une certaine forme de psyché-folk baroque et orchestrée du tournant des années 60/70 que Stephin Merritt et ses Magnetic Fields, fans notamment de Judy Collins et du travail de l’arrangeur Joshua Rifkin sur ses albums In My Life et Wildflowers, (...)
Attention jeune fan des Klaxons, sous sa pochette rose bonbon, Distortion n’est pas un album pour fluokids, juste le huitième album des Magnetic Fields en forme de concept ambigu tournant autour de la noisy pop. Au delà de la simple relecture d’un son, Distortion s’impose comme une nouvelle étape passionnante dans la discographie foisonnante d’un (...)