Alex Galotti est du genre à soigner son entrée. C’est ainsi qu’après Beginnings qui, en cinq titres, constituait sa première trace discographique, il dévoile dès le mois suivant un album dont la totalité des morceaux est inédite.

Récemment, nous avions eu l’occasion, dans ces lignes, de mettre à l’honneur l’électro envoûtante de Beajn. Koi s’inscrit dans la même lignée, aussi bien en termes d’ambitions que de sonorités globales. La même réussite accompagne finalement les œuvres respectives des deux artistes.

Plutôt prégnantes sur Dos et Ginseng, Alex Galotti revendique les influences de Ratatat et Pretty Lights. La comparaison serait néanmoins inexacte tant les compositions de celui qui réside à Virginia Beach sont aériennes et lumineuses.

Avouant n’avoir pas de méthode de travail particulière, se contentant d’agencer les nappes jusqu’à ce que le rendu lui plaise, Koi a déjà la tête à sa prochaine livraison, annonçant d’ores et déjà qu’elle comportera des voix. En espérant qu’il nous laisse le temps de savourer ses deux premiers travaux...

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